Aux tissus de tes empreintes
j’enfreins mes propres lois
retournées comme des coques.
A l’air libre, ton amidon m’emprisonne.
Je pullule de moissons
sillonnées de tes mots.
Entrer en Toi
provoque mes murs de prières.
Edite ton corps
sur la plage touchée
par les vagues muettes.
Cri ô cri
de ces phrasés profonds
posés sur ta langue
en de courtes poésies.
Enlace la peau de ton esprit
autour des rimes dorées
ruisselantes
courant sur les lignes de ta main.
Dis, ô demain
je retourne à la première
la seule
furie de mon corps.
Expulse !