L’horreur de la lumière
Et du sexe qui s’épuise
Les visages frôlant la mort
Et la réclamant avec avidité
La société s’enlisant et s’affamant
Ajoutant des couleurs à une onde diaphrane
Quand le porc et l’oie se côtoient
Dans un quotidien intellectuel
Relativement fade
Que font-ils de leurs connaissances ?
Si ce n’est ressortir de vieux héros
Des héroïnes pleines de grâce
Et des amours, gravés à l’envers
Sur l’âtre de leurs tôleries
Sans un mot pour leurs esprits, regard pour leurs égards
Sans éprouver le phénomène bizarre qui entraîne la consommation
Du temps perdu …